Maroquinerie de luxe

Pourquoi acheter de la maroquinerie made in France ?

Gage de qualité la maroquinerie made in France connaît une véritable ascension. Dans le secteur artisanal et du luxe, elle se démarque et s’impose. Atout de toute une industrie, elle véhicule l’image d’un savoir-faire séculaire. Très présente sur le marché étranger, la maroquinerie française permet de relancer tout un secteur d’activité et par conséquent de préserver des emplois sur le territoire.

Une notion de qualité

Maroquinerie made in France

Que ce soit dans l’hexagone ou à l’étranger la maroquinerie made in France est synonyme de qualité. Grâce à tout un savoir-faire ancestral, des gestes séculaires perdurent aujourd’hui encore. Ainsi que des anciennes techniques comme la cannetille datant du XVIe siècle que la marque éponyme Masha Keja revisite dans de magnifiques collections. Installée à Paris elle est dans la lignée des plus grandes maisons du luxe. Cette marque élégante offre des modèles qui accompagnent tous les styles des plus classiques aux plus urbains. Dans l’industrie du luxe la maroquinerie française est un des secteurs les plus porteurs. Avec une valeur des ventes exponentielle qui dépassait les 3 milliards d’euros en 2018, l’avenir parait des plus radieux. 1er producteur mondial du cuir de veau et des cuirs exotiques, la France est également le 2ème exportateur mondial de la maroquinerie dite de valeur.

Une progression à l’international

Les clientes étrangères raffolent de la maroquinerie made in France. Pour cela il suffit de regarder dans les avenues des plus grandes métropoles. Aux bras de ces dames, les plus grandes marques de la maroquinerie de luxe. Quant à la maroquinerie artisanale elle se défend bien également. Aujourd’hui il n’est pas rare que de nouveaux ateliers voient le jour un peu partout sur le territoire. Ces grandes maisons sont créatrices d’emploi et surtout elles permettent à ces petites mains de perpétuer des gestes séculaires. Ainsi la maroquinerie française oscille entre tradition et modernité.

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Valerianne Bouget

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